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mardi 26 juillet 2016

LES AMPLEURS DES AGGRAVATIONS - Part 2. - Vénus, nue sous son manteau de fourrure...

VENUS VIVAIT NUE SOUS UN MANTEAU DE FOURRURE,
JE N'AI JAMAIS PU OUVRIR LA FERMETURE [David McNell]

...Car il [le Diable] est l' "adversaire" par excellence, le contradicteur qui sera toujours contre une chose. Mais si cette chose devait être réglée un jour, la nécessité du contradicteur disparaîtrait et le Diable, s'il survivait à la mise à mort de Dieu, aurait alors la puissance de Belzébuth.
Mais pour moi la chose n'est pas réglée et, tant qu'elle ne l'est pas, le Diable est lâché, et j'approuve que Satan soit lâché. Je n'ai pas encore vaincu ce que combats ; mais je ne suis pas encore vaincu non plus et, ce qui est plus important, je n'ai pas encore capitulé. Je me déclare en état de guerre totale.   Comano, 17. VII. 1976.  Fritz Zorn (extrait de MARS).


LES AMPLEURS DES AGGRAVATIONS - Part 2. - Aujourd'hui, le 26 juillet de l'an 2016, accélération des amplifications des aggravations de la France. France à la beauté nue dessous un manteau de fourrure... - soigneusement bloquée est la fermeture - ..Telle Vénus, tremble car elle voit l'état de la nation des droits de l'homme. Après le temps de 30 années glorieuses, combien de décennies de mensonges et de trahisons républicaines ? Pour arriver à l'horizon d'une guerre de religions aux soleils de nos "élites tous azimths" de l'ART de nous cacher les vérités. Je vous laisse vous même faire vos comptes ! Tous ensemble, mains dans les mains, NOUS arrivons en choeur au même résultat pour tracer un itinéraire de secours dont la chute du point de non retour est cacapoum ! Le derrière, les quatre membres et le nez bien dedans ! Bref ! Très prochainement la fermeture va péter, le manteau va tomber et Vénus Nous déféquer à la gueule... J'ai la vision d'un nombre astronomique de palettes de rouleaux de PQ qu'il va falloir afin d'essayer de NOUS essuyer, puis je peux aussi déjà vous annoncer : RUPTURE DES STOCKS ! Bref ! En attendant je rêve d'un référendum populaire... mais je rêve. Tiens ! D'un coup, j'y pense, c'est le chanteur au gros cigare de cacapoum qui jouait dans le film "Sale rêveur" de Jean Marie Perrier en 1978. À suivre...
       Christian-Edziré Déquesnes

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