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vendredi 24 février 2017

Prière à Icelle


Pour l'anniversaire, ce jour, d'Icelle des mots d'Icelui pour juste pour elle
et comme un bouquet de Mimosa, six chansons soigneusement choisies. 

Prière à Icelle

Entre mes mains neiges en flocons d’arc en ciel de celles qui font Prière aux oiseaux en traverse dans le paysage de l’innocent regard bienveillant de l’ancien Arthur - il fait penduler sa tête de gauche à droite puis touche du bouts de ces doigts les cheveux noirs de jais d’Icelle - LÀ. Dans la communion de leurs regards et sourires mêlés, Icelui, suis et au ventre du pain et du lait de l’univers

De par l’échelle sans noeuds des neiges                                                                                                                              
De par la corde en ritournelles des vents
De par le feu bienveillant du soleil
De par les aveux fidèles des brumes
Chargées de gel
Chargé de pluie
Chargé de promesses
Chargées de chants
Je vis dans la tendre et bouleversante prière d’Icelle.
Icelle de mon tout partout dedans ma tête à la piquette de chaque matin et jusqu’aux fins des jours depuis que j’Edzire n’être qu’Icelui en votre petit cœur.

De route en routes. Icelle, aux tresses déliées de mots en bleus tendres j’ai cherché et trouvé le signe du puits du Loup duquel remonte le lumineux écho qui annoncent l’au-delà de nos toussaints. De routes en routes…


À la lumière du Trévadaire


La lumière du Trévadaire est dans nos vers de l’Amor à l’endroit de l’envers de ces lignes de signes qu’il tisse pour la Gente Dame révélée peu à peu à l’envers de l’endroit de ses yeux caressants dans les blancs de silence déversés aux bords de leurs paupières d’or aux franges des rideaux de douces soies de leurs âmes bleues entre-ouverte à la tendresse des justes qui se reposent en leur prairie fleurie des cimetières en dessous des os de tous les crânes de l’Humanité nichés au creux soyeux de la  Lumière des nuits pauvres et maigres et si riches de la simplicité du dénuement des voix de Celles et Ceux qui n’attendent plus rien de personne tellement ils ont vu mais pourtant qui reviennent offrir, en indicibles Musiques de vie et de morts, les laines magiques à tricoter le saint suaire de l’univers qui enveloppe les cœurs aimants du tout et du plus que ce presque rien qui fait tant défaut aux humains qui n’entendent pas car ils n’écoutent plus les Lumières sacrées en la pieuse  païenne sainteté d’eux même et que le Trévadaire cherche à annoncer par l’au-delà l’invisibles des peaux fermés de ces yeux pire que crevés  mais il se tient là, Icelle lui tenant la main, debout au-dessus des boues… Dans la Lumière du repentir.



À l’aurore des paupières d’Icelle qui s’en trouvent, Icelui prend l’envol bienheureux de pouvoir une nouvelle fois encore regarder les beautés de l’être, là, d’Icelle.


 Il désire être en vision de réel être confronté à la globalité de la gracieuse.

Christian-Edziré Déquesnes.

BONUS


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