Les ves de la ballade des coquebins de la déité (1)
À Robert Zimmerman
Elle se tient droite comme un coton tige noir
face au prestige des vestiges d'un vertige de jeu de mikado
qui éparpillé flotte dans la boule à neige du Nobel déviant...
...à suivre...
PASSAGES DE BOB DYLAN
au son de Blind Willie McTell
face au prestige des vestiges d'un vertige de jeu de mikado
qui éparpillé flotte dans la boule à neige du Nobel déviant...
...à suivre...
au son de Blind Willie McTell
(13)_________Combien de routes un bougre doit-il descendre / Avant que vous l'appeliez homme [...] / Le vent, mon ami, emporte... (37)________ ...l'histoire de [...] / l'homme que les autorités sont allées blâmer / Pour quelque chose qu'il n'avait pas fait... (1)_________Rien qu'à cause de la couleur de sa peau / Qu'est-ce que tu penses de ça, l'ami ? (29)_________J'ai pitié du pauvre immigrant / qui patauge dans la boue [...] / Et bâti sa ville dans le sang. (9)_________Tout le monde doit se défoncer. (4)________Même le Président des Etats-Unis doit parfois se tenir tout nu. (24)_________À présent tous les notables / paradent et se vantent / d'avoir su contraindre le sergent d'armes / par leur chantage à quitter son poste [...]Là-haut sur la colline de Projet d'Aménagement. / C'est la gloire ou la fortune / entre les deux tu dois faire ton choix / bien que ni l'une ni l'autre ne soit en somme ce que l'on prétend / Si tu cherches à faire le mariole / Mieux vaut retourner là d'où tu viens / vu que les flics n'ont rien à faire de toi... (12)_________Approchez, maîtres de guerre / vous qui construisez des canons [...] / Je peux voir à travers de vos masques. (14)_________Au dehors, une bataille fait rage / bientôt elle secouera vos fenêtres / et ébranlera vos murs. (23)_________Tout au long de la tour de guet, les princes restaient vigilants / tandis que toutes les femmes allaient et venaient, serviteurs aux pieds nus aussi / Là-bas au loin un chat sauvage a grondé / deux cavaliers approchaient, le vent s'est mis à hurler. (36_________Imaginent-ils l'obscurité qui tombera de là haut / quand les hommes supplieront Dieu de les tuer / et qu'ils ne seront pas capable de mourir. (26)________De guerre et de paix la vérité se tord / et sa mouette couvre-feu glisse / sur des nuages quadrupèdes de forêts. [...] Le réverbère est debout bras pliés / ses griffes de fers rivées / aux trottoirs sous les trous / où pleurent les bébés... (11)_________Oh, qu'as-tu vu, mon mignon petits ? / J'ai vu un nouveau-né cerné de loups sauvages / j'ai vu une autoroute de diamants que personne ne courait [...] / Et une pluie dure va tomber. (32)_________Maman [...] / Je ne peux plus tirer sur eux. / Ce long nuage noir descend / j'ai l'impression que je cogne à la porte du paradis. (28)_________Si les nuages ne tombent pas et si le train ne s'arrête pas / je bondirai à la rencontre du soleil. (33)_________Puisses-tu construire une échelle vers les étoiles / et grimper le long de chacun des barreaux / Puisses-tu toujours demeurer jeune. (7)________Mon amour parle pareil au silence / sans idéaux de violence. (39)__________Pourquoi voudrais-je prendre la vie ? [...] Tatoué mes bébés avec une plume empoisonnée / Ridiculisez mon Dieu, humilié mes amis. (31)__________J'ai reposé ma robe pris mon diplôme / serré ma bien-aimée et nous avons roulé au loin / Droit vers les collines, les noires collines du Dakota / sûr que j'étais heureux de m'en sortir vivant. (2)__________J'ai aimé une fois une femme, une enfant me dit-on / je lui donné mon coeur, mais elle a voulu mon âme. (5)__________Je ne travaillerai plus à la ferme de Maggie / C'est honteux la façon dont elle m'a fait astiquer le parquet. (18)__________Rends-la heureuse, rends-le heureux / Offres des cadeaux, ne voles pas ! [...] Ne portes pas de sandales / Essaie d'éviter les scandales. (19)___________Que ressent-on ? Qu'est-ce ça te fait / d'être toute seule / sans foyer, à la rue / comme une parfaite inconnue / comme une pierre qui roule. (15)__________Hey, Monsieur l'homme orchestre, joue-moi une chanson / je ne suis pas endormi et je n'ai nulle part où aller [...] Emporte-moi en voyage sur ton bateau qui tourbillonne. (17)___________Sur le bord de la Seine / l'ombre géante de Notre-Dame les étudiants de la Sorbonne / cherche à attraper mon pied / Les étudiants de la Sorbonne / tournoient sur de frêles bicyclettes. (29)__________Pendant que ma conscience éclate / les harmonicas jouent leurs clefs dans les serrures et la pluie / et ces visions de Johanna sont à présent tout ce qui me reste. (21)__________Tous ces gens dont tu parles [...] / j'ai dû transformer leurs visages / et leur rendre à tous un nouveau nom. (27)___________Avec votre bouche pleine de mercure dans les époques missionnaires / et vos yeux semblables à de la fumée et vos prières comme des rimes / et vos croix d'argent et votre voix qui résonne pareille à des carillons / Oh, qui parmi eux, songerait à vous enterrer ? (35)___________Doux ange vierge, doux amour de ma vie / veillant pendant des jours dans l'hôtel Chelsea / écrivant Sad-Eyed Lady Of The Lowlands pour vous. (36)___________j'ai épousé Isis le cinquième jour de mai / pourtant je n'ai pas pu m'accrocher à elle bien longtemps. / Ainsi j'ai coupé mes cheveux et j'ai filé bien loin / pour la sauvage contrée inconnue où je ne serai pas dans l'erreur. (10)__________Tu dois servir quelqu'un / quand il reviendra / et je crois en toi. (0)__________Je ne descendrai pas sous terre [...] / Laissez-moi mourir dans mes traces de pas.
(41)__________Je ne parle pas, j'avance, c'est tout ! / Donnez-moi ma canne de marche [...] / J'avancerai jusqu'à perte de vue. (22)___________Tu n'a pas besoin d'un météorologiste pour savoir de quel côté le vent souffle. / Ne suivez pas les meneurs, surveillez les compteurs des parcmètres.
(41)__________Je ne parle pas, j'avance, c'est tout ! / Donnez-moi ma canne de marche [...] / J'avancerai jusqu'à perte de vue. (22)___________Tu n'a pas besoin d'un météorologiste pour savoir de quel côté le vent souffle. / Ne suivez pas les meneurs, surveillez les compteurs des parcmètres.
J'ai composé, il y a environ bientôt déjà une dizaine d'année,
ce texte à partir de phrases extraites de chansons de Bob Dylan.
Christian-Edziré Déquesnes.
STAGGERLEE - version n°2.
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